Le Destin à ma porte [ Mathieu Smith Privé ]

Je stoppa ma voiture en bas de mon immeuble, pris mon sac à mains qui était su la banquette arrière.

Je montais les escaliers pour arriver jusqu’à mon appartement, je fouilla un peu dans mon sac pour y trouver mes clés.

Après être entrée dans l’appartement, je jeta mon sac sur le canapé et me pressa pour prendre ma douche afin de me préparer pour se soir.

- Je vais être en retard comme d’hab ! Dis je en regardant la pendule de ma salle de bains.

Je pris ma douche dans une vitesse folle, je laissais mes cheveux sécher naturellement a cause du manque de temps.

J’enfilais une de mes robes noir afin de quitter se vieux jeans que je porte quasiment tous le temps.

Je me pressais pour me maquiller et finir de me préparer.

- Merde… Dis je en me regardant dans le miroir.

Mes cheveux commençait à ondulés légèrement, je n’avais pas le temps de les lisser.

Je mis une paire de boucles d’oreille et mon collier fétiche, un petit cheval au galop qui symbolise la liberté.

Je me dirigea vers le canapé pour prendre mon sac quand tout à coup on frappa à ma porte d’entrée.

Je me pressa pour lui ouvrir.

- Re bonjour ! Dis je avec un léger sourire. Entrée ! Relançais je en lui indiquant de entrer .

Re bonjour ! Dist-elle avec un léger sourire. Entrée ! Relança t'elle en m'indiquant de entrer .

elle était dans une robe noir sublime qui lui allé a merveille. Ses cheveux légérement ondulé sur son visage la faisait rajeunir.

Re ! lui dis-je en rentren a lintérieur de sont appartement avec un léger signe de main et un sourir débil.

Cette robe vous va a mervielle ! m'exclamais-je .

Et encor les mots me manqué pour exprimer une telle beautée.

-Ete-Vous préte, Hayley ? Jai déja réserver un restaurant j'espére qu'il vous plaira.

- Êtes vous prête Hayley ? J'ai déjà réservé un Restaurant j'espère qu'il vous plaira. Dit il avec élegance.

Je rougis sous ses compliments, je me dirigea de nouveaux vers mon sac et le pris de la mains droite et de ma mains gauche pris mes clés qui étaient à l’intérieure.

Je me mis face à Mathieu et lui souris.

- Oui je suis prête. Dis je en levant mon sac en l’air. SI je peux me permettre vous êtes élégant également. Je ne savais que le Lieutenant de San Francisco pouvait avoir un costume pareille . Repris je avec humour.

Oui je suis prête. Dit-elle en levant son sac en l’air. SI je peux me permettre vous êtes élégant également. Je ne savais que le Lieutenant de San Francisco pouvait avoir un costume pareille . Reprit elle avec humour.

- Ha vous ne vous rappelais pas je suppose mais a San Francisco j'était chef d'équipe, et sa paye bien comme vous pouvais le savoir ! Rigolais-je

J'avais réussi a faire rougir cette demoiselle, et cette tiente lui va superbement bien a vrais dir.
Nous somme sorti de sont appartement, elle le ferma a clef et rangea celles-ci dans son sac.
Arriver en bas de son immeuble je lui ouvrit la portière de ma voiture et en gage de remerciement elle me sourit ouvertement.
Je la referma et m'installa au volant.

Nous descendons les Escaliers de mon immeuble, nous marchons vers une magnifique voiture.
Je tendis ma mains pour ouvrir la portière, mais j’ai été devancée par la galanterie de Mathieu.
Je le remercie avec un grand sourire et m’installa sur le siège.
Mathieu refermât la porte et s’installa derrière le volant et démarra le moteur.
On roulait depuis un petit moment, trop nerveuse pour engager la conversation.
Mais je décidais de me lancer.

- Alors … Euh … Pourquoi tu es à New York ?

Alors … Euh … Pourquoi tu es à New York ? Me dit-elle nerveusement

- Pour changer. Répondis-je un peu séchement
- Et toi pourquoi a tu troquer San francisco pour New York ? Repris-je

Elle me semblais stresser.
Si elle l'était moi je l'était tout autant ! Je ne savais méme pas de quoi parler avec elle appart de la météo.
*Mathieu reprend toi* me dit mon moi intérieur * D'abitude tu sais parler a ses dames alors au boulo si tu veut celle-la tu l'aura !* Je repri confiance en moi en écoutant la débilitée de se moment .
J'attendi sa réponse impaciament.

- Et toi pourquoi as-tu troquée San Francisco pour New York ?
- Moi … Pour fuir le passer … Dis je tristement.
Et puis les fêtes de New-York sont bien mieux que San Francisco, tu ne trouve pas ? Repris je suivis d’un petit rire.

Je le regardais dans yeux en souriant, je ne voulais pas montrer à Mathieu mes peines.
Nous roulions encore un moment avant que son conducteur stoppe la voiture.

- Fini la ballade en voiture ? Dis je avec Ironie.

Méme si elle essayé de le cacher je lu de la peine dans son regard.

Arriver devant le restaurant je trouva une place juste en face de l'entrée.

-Fini la ballade en voiture ? Dit elle avec une pointe d'Ironie.
-Oui, je sorti de la voiture et lui ouvrit la portière, Si madame veut bien se donner la peine luis fis avec un signe de la main en lui montrant l'entrée principal.

L'entrée était arquée en noir avec des girlandes clignotante couleur or, un tapis rouge se dérouler devant nous. Ce restaurant fait parti des meilleur de New York c'est aussi l'un de mais préféré. Je lui tendis le bras qu'elle pris. Nous nous somme diriger jusqu'au maitre d’accueil.

- Bonjour M. Smith , vous éte en charmante compagnie se soir s'exclama celui-ci
- Effectivement vous avez l’œil luis souriais-je
- Je vous est pris la meilleure table, avec vu sur New York de nuit Me dit-il tout bas
- Ceci et parfait comme toujours le gratifiée-je
- Si vous voulais bien me suivre

Il nous amena a la table. Elle était décorée avec un pot de champagne accompagné de ses 2 coupettes a peid en or, des pétales de rose rouge éparpillé sur toute la table, une rose rouge au centre et un service blanc a bord en or assortie a la nappe or bordée de blanc.
Nous nous sommes installés. Le serveur nous apporta la carte des menus.

- Que désire tu ? M'exclamais-je
J'avais l'impression a cette instant de la sortir de ses pensées.

- Que désire tu ? Dit il en me lançant un regard interrogateur.
- Euh ... commençais je en posant les yeux sur la carte. C'est qu'il y a tellement de choix ! Repris je.

Les noms des différents plats défilaient sous mes yeux, je n'arrivais pas à me décider.
J'étais encore sous le choc à cause du choix du restaurant fait par Mathieu.
C'était immense et si luxueux, je m'attendais à un petit restaurant ou même un fast food.
Je regardais Mathieu dans les yeux au moment ou le Serveur arriva avec son calepin et son stylo pour noter notre commande.
Après quelle que moment d'hésitation, je le décida enfin, il nous reprit les cartes avant de filer comme l'éclair. De la mains droite, je pris la flûte de champagne pour l'examiner d'un peu plus prêt. Au même moment le maître d'hôtel arriva avec une bouteille à la mains.

- Puis je vous recommander ce Château la Tour qui est excellent ? Dit il en nous
présentant la bouteille.

- Vous n'avez pas une bière plutôt ? Dis je gênée.

Le serveur prit notre commande.
Il nous recommanda un Château-la-Toure.

- Vous n'avez pas une biére ? dit'elle un peu génée.

C'est la que je realisa mon erreur, elle n'était pas alaise dans se genre d'endroi, sa se lu dans sont comportement.

- Vient avec moi luis dis-je

Je me leva et la prit avec moi et sorti du retaurant. Je la fit montée dans la voiture et prit le volant.
Arriver devant un petit restaurant, je me retourna vers elle.

- Attend moi ici dis-je

J'étais surprise par la réaction de Mathieu, après ma réponse au serveur, il me prit par la mains et m'entraîna à l'extérieur. Je ne comprenais toujours pas son geste.
Il me fit monter dans sa voiture, je ne disais pas un mot.

* Ai je dis quelle que chose de mal ? * Pensai Je.

J'avais peur de l'avoir vexé ...
Quelle que minutes plus tard, il stoppa la voiture.

- Attend moi ici ! Lança t-il tout en sortant de la voiture.

Je restai immobile dans la voiture quelle que secondes à réfléchir rapidement avant de prendre la décision de sortir de la voiture.

- Dit ! Le Service là ba était tellement rapide que je n'ai pas vu l'assiette passer dit donc ! Lui lançais je en claquant la porte avant de le rattraper dynamiquement.

- Dit ! Le Service là ba était tellement rapide que je n'ai pas vu l'assiette passer dit donc ! Me lançait elle en me suivant dynamiquement.
Je m'arrêta et elle me fonça dedans.
Je me retourna, elle s'éloigna et me fixa d'un regard, je la crût à la fois vexé et peinée.

* Ho ! Non, ai je mal réagis, j'aurai pus le faire autrement ... *

Elle me troubla, je me sentais désarçonné face à elle mais sans pour au temps lui montrer et repris de l'assurance.

- C'est Normal le service ne me plaisais pas alors j'ai décidé de t'emmener ailleurs, en l'occurrence ici.

- C’est normal le service ne me plaisais pas alors j’ai décidé de t’emmener ailleurs, en l’occurrence ici. Dit il.

- Puis temps mieux je déteste ce genre de resto, ça propose même pas une bière ! Dis je avec humour et un grand sourire.

Mon ventre se mit à crier famine.

- J’espère que le Service te plaira ici car j’ai super faim ! Dis je toujours en le regardant. Et on est où ici ? Repris je.

- J’espère que le Service te plaira ici car j’ai super faim ! Dit elle toujours en me regardant. Et on est où ici ?

- On m’en a parlé et conseillé. Alors j’espère qu’il te plaira, et ils servent de la bière ici ! Dis je en lui souriant.

Vu qu’elle avait faim, je la prit par la mains et la fit entrer. Une femme d’une cinquantaine d’années nous accueille, sans un sourire avec une mine de déterrée, je n’aimais gère se genre d’endroit mais pour Hayley je fis l’effort de rester sans me barré en courant. Cette dame, nous invita à la suivre sans une once de politesse. Nous étions assis sur des chaises en paille inconfortable, le service n’était pas parfait mais il pouvait encore aller. La salle était presque vide, juste quel que client était encore là.

La serveuse nous tendit la carte des menus, il y avait très peu de choix. Hayley semblait appréciée se resto.

- Qu’as-tu choisis ? Lui demandais je.

- Qu’as-tu choisis ? Dit il avec son regard interrogateur.

- Euh … Hooo … Le Menu du Jour, on va pas chipoter ! Dis je en souriant.

La serveuse arriva avec son petit bloc note.

- Qu’ont-ils choisis ?

Après avoir annoncé notre commande, j’engageai la conversation.

- Ca va ?

- Ca va ? Dit elle en me regardant.

- Oui, … Je vais très bien. Dit moi … Pourquoi as-tu fuis San Francisco ?

Cette question me brulait les lèvres depuis qu’elle me l’avait dit dans le trajet.

- Oui, … Je vais très bien. Dit moi … Pourquoi as-tu fuis San Francisco ?

Je ne m’attendais pas que Math’ me pose cette question, je ne savais pas comment y répondre. Je regardais quelle que temps la table avant de le fixer de nouveaux.

- Mon fiancé … c’est suicidé … Dis je avec un petit sourire. Et puis je voulais revoir Kate.

Je ne voulais pas montrer ma peine à Mathieu et surtout pas se soir. J’avais peur que ma réponse est plombé l’ambiance, je pris ma bière et en bu une grande gorgée.

- Et toi ? Ca te plait N-Y ? L’interrogeais-je.

* J’espère que je ne l’ai pas choqué !? * Pensais-je

Pendant se temps la serveuse arriva et nous déposa notre commande.

　

　

- Mon fiancé … c’est suicidé … Et puis je voulais revoir Kate. Dit elle avec un léger sourire.

Je ne montra aucune émotions à sa réponse, je continuais à la regarder.

* Comment un homme pouvait-il se suicider avec cette femme à ses cotés ? * Pensais je.

Elle prit sa bière et en bu une grande gorgée, elle semblait impassible avec un sourire figé sur ses lèvres.

La serveuse déposa nos commandes.

- Et toi ? Ca te plait N-Y ? Dit elle

- Oui pour l’instant je n’ai pas à me plaindre. Alors toi et Beckett, vous vous connaissiez déjà ?

Enfaite je m’en fichais un peu mais je ne fit rien paraitre, je voulais juste changer de sujet. Car celui devant n’était pas très gai.

- Oui pour l’instant je n’ai pas à me plaindre. Alors toi et Beckett, vous vous connaissiez déjà ?
- Oh ... Oui ... On était dans la même école de Police. Dis je en prenant ma dernière gorgée de bière. C'était le bon vieux temps ! Repris je en posant mon verre.

Je me remis une mêche de cheveux que me tombait sur le Visage pour la remettre derière mon oreille droite.
Je plongeai mon regard dans le siens et lui lança un regard interoguateur en lui demandant.

- Ca va ? Tu as l'air ... ailleurs ? Ca va pas ? Dis je en me raprochant du bord de ma chaise.
- T'es tous bizzar ! Repris je.

- Oh ... Oui ... On était dans la même école de Police. Dit-elle en prenant sa dernière gorgée de bière. C'était le bon vieux temps ! Reprit-elle en posant son verre.

elle remis une mèche de cheveux que lui tombait sur le Visage pour la remettre derrière son oreille droite.
Elle plongea son regard dans le miens et me lança un regard interrogateur en me demandant.

- Ca va ? Tu as l'ai ... ailleurs ? Ca va pas ? Dis je en me rapprochant du bord de ma chaise.

- T'es tous bizarre !

Je ne sus quoi répondre

*Comment vais-je ? Bonne question*

Cette file est un mystère, elle peut passé du coq a l’âne sans difficulté, moi aussi je sais le faire, je m’étais entraîner en cours de communication . Mais pourquoi devant elle et sont regard couleur jade, je n’arrive pas a trouver mes mots, est-ce des sentiments ? Non….
La serveuse récupéra nos plats et nous apporta la suite.

- Oui, je vais très bien, fis-je ailleurs. Et toi ?

Oui comment elle, elle allait ?

- Oui ... Oui, je vais bien. Et toi ? Dit il
- Moi ? Oh ça va très bien ! Dis je avec un grand sourire.
Cela fesait longtemps que je n'etais pas sortis ... Lançais je avec ironie.

Je commençais à manger mon gâteau au chocolat avec sa boule de glaçe vanille.
- J'adoooore le chocolat !

Je regardais Mathieu avant de lui dire.

- J'espère que je ne te fait pas trop peur !Lançais je avec un grand sourire, avant de passer mon doigt dans l'assiette pour recupérer le coulis au chocolat avant de le lecher par gourmandise.

- Moi ? Oh ça va très bien ! Dit-elle avec un grand sourire.
Cela faisait longtemps que je n’étais pas sortis ... Lançait-elle avec ironie.


Elle commenças à manger son gâteau au chocolat


- J’adore le chocolat !

- Je peut le constaté, attention a ne pas qu’il s’échappe, rigolais-je avec elle .

Elle rit et reprit

- J'espère que je ne te fait pas trop peur !Lancent-elle avec un grand sourire

Apres sa phrase elle passa sont doigt dans sont assiette et se léchât celui-ci.

- Toi m’effrayai ? Tu rigole souriais-je, Si toi tu me fait peur alors tout le monde me fait peur !

Elle éclata de rire avec moi et confirma ma phrase précédente.
La serveuse reprit nos plats et nous apporta le café et l’addition.
Je paya l’addition.

- Le repas ta plut ? Lui demandais-je

- Le repas t-as plus ? Dit il avec un léger sourire.
Je pris une gorgée de café avant de lui dire.
- Bien sur, cette soirée était parfaite !

Je posa ma tasse sur la coupelle prévus, tout en voyant Mathieu se lever pour me devançer de payer la note.
Je l'attendais sagement à notre table et le regarda au loin parler a la serveuse.
Puis il se retourna pour revenir prendre sa veste qui se trouvait sur le dossier de la chaise avant de la mette sur son épaule.
Nous sortons du restaurant pour nous diriger vers sa voiture. Comme à son habitude, il m'ouvrit la portière et le remercia d'un regard. Nous roulons un petit moment, avant d'arriver enfin devant mon immeuble.

- Ma Tanière ! Dis je avec Humour.
Nous nous dirigeons vers la porte de mon immeuble escalada les marches jusqu'a la porte de mon appartement. Je lui tournis le dos pour prendre mes clés et déverouiller la porte avant de les remettre dans mon sac à mains.

* Tête en l'air comme je suis je vais les oublier sur la porte *

Je lui fis face, le regarda et dis :

- Et ba ... Merci Pour cette soirée. Ca ma fait plaisir de te revoir ! Dis je avec un grand sourire.

Après ces mots, il plaqua avec énergie sa mains gauche sur la porte de l'appartement.

Arriver devant chez elle je stopa la voiture.

Ma Tanière ! Dit-elle avec Humour

Je me mit a rire a sa blague.

Nous montame les escalier pour enfin arriver devant sont appartement.
Elle sorti les clefs de sont sac et me tourna le dos pour les insérets dans la porte.
Elle se retourna pour me faire face et commenca a me parler je n'entendit rien de se qu'elle.me dis.

Je plonga mon regard dans le sien et plaqua ma main gauche sur la porte et posa ma main droite sur sa hanche avant de la remonter délicatement le long de sont corps jusqu'a sont visage pour y reterié une méche qui venait de s'interposé sur son visage.
Je prit sa méche et la déplaca doucement dérrière sont oreille. Je pri une poigné de ses cheveux pour raprocha sa téte de la mienne nos deux bouches était si proche .....

- A moi aussi cela ma fait plaisir. Me susurrai-je Mathieu.
Je fus surprise de sentir sa mains droite sur ma hanche, je baissa la tête pour regarder en direction de celle-ci avant de lui lancer un regard interrogateur en relevant lentement la tête. Une de mes mèches de cheveux tomba sur mon visage, qui me fit loucher.

Je sentis lentement la mains de Mathieu remonter jusqu’à ma joue, enfin de pouvoir remettre la mèche rebelle derrière mon oreille. Il glissa doucement sa mains dans mes cheveux et en prenant une poignée. Je sentis qu’il m’entraînait jusqu’à lui, tout en voyant ses lèvres s’approcher. J’étais crispé et mis du temps à réagir. Je glissa rapidement ma mains dans mon dos pour pouvoir attraper et appuyer sur la poigner de la porte tout en ayant une réaction de recule et surtout de fuite.
J’ouvris enfin la porte. Mais par mon grand malheur, nous basculons en arrière. Mathieu me prit dans ses bras et se jeta pour amortir ma chute. J’atterris à califourchon sur le ventre de Mathieu, tout en étant en déséquilibre. J’appuyais ma droite sur mon torse et l’autre au sol.

- C’est beau la jeunesse ! Quelle sauvage, dommage pour ta jolie robe ! Lança une petite vieille qui habitais en face de mon appartement.

Je me retourna, mal a l’aise et répondis je.

- Euh ...Ce... n’est rien Mme Atella, nous sommes juste tombés.
- Je n’ai pas besoin des détails ma belle ! Dit elle en rigolant au larmes.

Ma voisine partit, je refermais la porte avec l’aide de ma jambe.
Je constata avec regret que ma robe était belle et bien déchirée.
Je lançais mon regard dès plus noir au Jeune homme.
Je « descendis » de mon « destrier » pour m’assoir à terre.
Je poussa un long soupir et respirai rapidement.
J’étais gênée, humiliée … Je ne savais plus quoi faire. J’étais toujours assise à terre, à pensée.

- Tu ne t’es pas fait mal au moins ? Dis je en plaçant mon visage dans le creux des mes mains.