Enchanté Ian ...

Je roulais depuis des heures avant de me stopper.
Je mis enfin pied à terre, je ne savais pas trop ou j’étais, ni ou j'en étais.
J’avais reconnus les Docks sur l'Hudson River.

- Je suis aller si loin ?! Dis je tous haut.

Je regardais un peu partout autour de moi avant de mettre les mains dans les poches pour aller faire un petit tour.
Je ne savais pas si j’avais le droit d’être ici, mais je me sentais seul au monde, ceux qui était parfait pour réfléchir.
Je pensais toujours à Mathieu … Il hantait mon esprit …
Je me faufilais toujours à travers les conteneurs entreposés ici, ceci m’amusais un peu à vraie dire.
J’étais seul …

Enfin presque.
Je me stoppa un instant avant de me retourner rapidement, j’avais une forte impression d’être suivie.

* Ca doit être les Employés qui travaille ici … * Pensais-je tous en reprenant ma petite promenade.

Mais plus le temps passait, plus je me sentais surveiller, même espionnée.
J’augmentais ma cadence dans ma démarche et tourna dans tous les sens entres les conteneurs.
Je me cachais derrière l’un d’entre eux. Et vis un homme, un jeune homme, vêtu de Noir, qui cherchais une direction ou aller.
Je mis ma mains dans mon dos pour la disposer sur mon arme.
Je sortis de ma cachette lentement et sur mes gardes avant de dire.

- Qui êtes vous ?! Criai-je toujours la mains sur mon arme.

Le Jeune Homme se retourna lentement pour me faire face avec un petit sourire.

- Que voulez vous ?! Insistais-je.

- Enchanté Hayley ! Je me nomme Ian ! Dit il en me tendant la Mains.

- D’où connaissez vous mon nom ? Et que voulez vous !? Repris je.

- Se n’est pas parce que je connais tous de vous ma Belle que vous deviez être sur la défensive. Dit il en se rapprochant lentement.

Je mis doucement à reculer à chaque pas que L’homme fessait.
En une poignée de seconde, je pointant mon arme sur lui.

- Plus un geste ! Ou j’hésite pas à tirer !
- Hayley … Hayley … Ne réagissez pas comme ça voyons.
- Que voulez vous ? Repris je toujours l’arme pointé sur lui.
- Continuer le Travail ! Dit il en essayant de me désarmer.

J’esquiva son coup, prit son bras de la mains gauche et le retourna pour le plaquer au sol.
Je mis tous mon poids sur lui, malgré sa force j’essayais de résister.
Je mis le canon de mon arme sur sa tête.

- Plus un geste ! Je parle Français !!! Criais-je
- Vous êtes balaise … C’est bien … Je vais pas m’ennuyer avec vous !

Je pris mon portable avec prudence de la mains gauche dans la poche de ma veste.
Je composa le Numéro

- Math’ … C’est Hayley ! Rejoins moi sur les Docks sur l'Hudson River ! J’ai un Malade qui ma attaquer viens avec …. Je ne pus finir ma Phrase.
Le Jeune Homme se retourna avec une telle rapidité que je n’ai pas pus résister d’avantage.
Il me mit sur le dos en me tenant fermement les poignée au Sol.
Mon portable avait fait un vol plané pas loin de moi.
D’un bras, il m’immobilisa les mains et de l’autre pris le téléphone.

- Pas la peine de venir avec tes petit soldats … Quand vous arriverez elle ne sera plus ici … Dit il avec quelle que ricanement avant de raccrocher.

Il lança mon portable et éloigna également mon arme.

- On verra dans combien de morceau il te retrouvera ? Dit il en caressant ma joue.

- Vous êtes mort ! Pour avoir attaquer un agent et surtout pour AVOIR EXPLOSÉ MON PORTABLE !

Je voulus saisir une occasion, je lui donna un violent coup de tête et essaya de me débattre mais en vains.

- Tu veux la jouer comme ça !!!Cria-t-il avant de m’infliger une droite monumental.

Je tomba dans les pommes … puis trou noir…

Cela faisait déjà un petit moment que je suivais ma cible, celle ci avait traversé presque tout New-York pour enfin atterrir a Staten Island, prés des docks de hudsen river. Je ne pense pas qu’elle voulait aller aussi loin même moi je ne voudrais pas me perdre dans le coin, qui sait ce que l’ont peut rencontré …

Elle commençât a marcher sur les docks, j’entreprit de la suivre. Personne n’étaient présent sauf nous deux.
Je la suivis sans grande discrétion, pourquoi être discret, de tout façon elle me verra bien tôt ou tard…..
Elle me repérât au bout d’un certain temps certes, elle accéléra son pas et se mit a tourné dans tout les sens. Je ne fis même pas l’effort de la suivre, inutile, ses pas la trahissaient.
Je me stoppa au milieu d’un carrefour et fis mine de la chercher alors que je savais parfaitement sa position. En quelques minutes, elle s’élança sur moi.

- Qui êtes vous ?!

Je me retourna, nullement surpris, avec un sourire. Je remarqua qu’elle portait une main dans sont dos, j’en supposa que c’était la que sont arme se trouvée.

- Que voulez vous ?!

Je lui tendis la main avant de me présenté a elle.


- Enchanté Hayley ! Je me nomme Ian !

Comme je le pensais elle fut troublée par la prononciation de son nom.

- D’où connaissez vous mon nom ? Et que voulez vous !

- Se n’est pas parce que je connais tous de vous ma Belle que vous deviez être sur la défensive

Je m’avança, elle recula, le jeux du chat et de la souris. Puis quand elle se sentis bloquer elle sortie son arme.

- Plus un geste ! Ou j’hésite pas à tirer !

- Hayley … Hayley … Ne réagissez pas comme ça voyons.

- Que voulez vous ?

Je tenta de la désarmé mais elle esquiva et prit mon bras.
Je me laissa faire, elle me mit au sol, elle pensait avoir gagné et pointa son arme sur mon front

- Plus un geste ! Je parle Français !!!

Elle prit son téléphone et composa, je la laissa téléphoné, si cela lui faisait plaisir, moi ca ma faisais sourire.


- Math’ … C’est Hayley ! Rejoins moi sur les Docks sur l'Hudson River ! J’ai un Malade qui ma attaquer viens avec ….

Enfaîte sa conversation était complètement barbante, puis être a terre cava bien deux minutes…
Je décida donc de me relevais, je lui prit son téléphone d’une main et de l’autre la fit basculé sur le dos en lui tenant ses poignets.

- Pas la peine de venir avec tes petit soldats … Quand vous arriverez elle ne sera plus ici … dis-je a son interlocuteur avant de balancer et briser son téléphone.

Je pris son arme et l’éloigna de nous.


- On verra dans combien de morceau il te retrouvera ?

- Vous êtes mort ! Pour avoir attaquer un agent et surtout pour AVOIR EXPLOSÉ MON PORTABLE !

Elle me mit un coup de tête, qui n’eut aucun effet sur moi.

- Tu as décider d’être violente, alors je vais te donner un avant goût de t’as défaite.

Je l’assommât sur ses bonnes paroles. Pensait elle vraiment avoir plus de force que moi ?

Je a transporta en toute discrétion jusque un hangar isolé loin des docks.


Je l’assis sur une chaise et lui attacha les mains dans le dos, je fis exprès de ne pas serré complètement ses liens, cela est plus drôle quand ils tentent de se débattre et leur tête quand ils croient s’être détacher, une joie !
Je vérifia si elle n’avait pas planqué d’autre armes sur elle.
Mon plan était parfait !
Elle commença a ouvrit les yeux.

- Ho ! la belle au bois dormant se réveille ! Enfin jais faillis attendre, je me présente mieux a vous, Ian dit aussi assistant de la faucheuse et a mes heures perdu artiste, je ne vous fait pas un dessins sur se que sont mes œuvres…
Vous allez bientôt découvrir l’une de mes œuvre que je vous dédirez mademoiselle Williams. Vous n’avez pas besoins de vous présenter a moi , je sais presque tout de vous.

Je me mis a sourire, Hayley, elle paraissait confuse et un peut de peur se lisait sur son visage.

Je prit un couteau et je me mis a jouer avec, se que ne savais pas Hayley c’était que je ne l’avais pas choisit au hasard.
Je souleva sa tête de ma main gauche.

- Vous avez la de bien jolie yeux, et si vous en perdié un ? Non, ne t’inquiète pas, je ne vais pas te les retiré ni te les crever quoique ? ….. Non se serait trop banal, indigne de moi.

Je me sorti d’une pensée, funeste, qui me fit sourire et repris.

- Avant que j’oublie, crié ne sert a rien, ici personne ne peux vous entendre, a part moi bien sur.

Je recula pour l’observer. je savait que a tout moment elle pouvait me bondir dessus, bien sur j’avais déjà tout prévue.
Je stoppa ma lame que je tenait entre mes doigt et la lui planta dans sa cuisse droite.
Elle dut pensait que je ne savait pas visé vue que celle ci ne fit aucun dégâts apparent mise a part lui faire coulait un peut de sang sur son jean, mes cette lame la paralysera des ses jambes d’ici 30 secondes sans qu’elle ne sente rien ni n’y puisse quelque chose….

Un rictus se dessina sur mon visage.

- Ho ! la belle au bois dormant se réveille ! Enfin jais faillis attendre, je me présente mieux a vous, Ian dit aussi assistant de la faucheuse et a mes heures perdu artiste, je ne vous fait pas un dessins sur se que sont mes œuvres…
Vous allez bientôt découvrir l’une de mes œuvre que je vous dédirez mademoiselle Williams. Vous n’avez pas besoins de vous présenter a moi , je sais presque tout de vous. Dit il.

Ces paroles me fit immerger lentement de mon sommeil.
Au fond de moi, j'étais un peu effrayée.
Je jeta un léger regard dernière moi, et constata que j'étais attacher, mais peu solidement.

- Vous êtes nul pour les nœuds ! Mais je pense que vous l'avez fait exprès.

J'admirais Ian qui sortis de nul part, un couteau qui fit jouer entre sens doigts.
Il s'approcha lentement de moi avant de s'accroupir.
D'un geste doux, il releva ma tête avec sa mains gauche.

Vous avez la de bien jolie yeux, et si vous en perdiez un ? Non, ne t’inquiète pas, je ne vais pas te les retirés ni te les crever quoique ? ….. Non se serait trop banal, indigne de moi.

- Espèce de Tarer ! Criais je.

- Avant que j’oublie, crié ne sert a rien, ici personne ne peux vous entendre, a part moi bien sur. Dit il avec un petit sourire.

En l'espace d'un instant, je sentis la lame transpercer ma cuisse.
Une légère douleur constante se trouvait dans celle-çi.

Il semblait satisfait de son action.
Je voulus essayer de me lever, de me débattre, je ne voulais pas être son jouet, être à sa Merci.
Je voulus me lever ...
Le désespoir se lu sur mon visage.
Je commençais à ne plus sentir mes jambes, comme paralysée.

- Que m'avez vous fait !!! Hurlais je !

Je ne sentais presque plus la douleur.

- Vous n'êtes pas dans Saw !

Après ces mots, je dégagea mes bras des cordes que Ian avait laisser volontairement peu serrée.
Je lui lança un regard noir.

Je vis, quand elle voulut se levée, son visage ce paralysée et son sourire ce figée puis disparaître.
Mon mélange commençait a agir sur elle. Il ne la paralysera que des jambes, elle ne sentira aucune douleur que je lui infligerai a cette endroit, elle ne devrait déjà plus sentir le couteau empoisonné planter dans ca chaire.

- Je ne suis pas dans saw, effectivement , et je ne suis pas non plus un taré. Je te remercie de ce compliment fis-je sans faire transparaître aucune émotions.

Je me retourna et m’avança vers une table tapis dans l’ombre, ou j’avais disposer quelques outils. J’y récupéra 2 longues tiges métalliques et une seringue que je pris dans ma main droite.

- Alors, aurais tu un souhait particulier a formuler, un endroit par lequel tu veux que je commence ?

Je lui souri, biensur je ne lui ferais pas le plaisir de faire comme elle me dira et ni ne réagirais a ses insultes.
Cette femme était une rebelle, elle se défend bien, car quand je m’approcha elle m’attrapa mon bras gauche qui contenait mes tiges. Elle tenta d’attraper le droit, mais n’y est pas parvenu, je me mis de profil pour qu’il lui soit hors d’atteinte.

- Coriace, mais que feras-tu contre ca ?

Je lui planta la seringue dans l’épaule, celle-ci contenait un somnifère qui l’endormie aussi sec.
Je rigola. J’étais heureux qu’elle ne ce laisse pas faire aussi facilement.
Mon bras libéré, je me retourna vers ma table, posa la seringue vide et pris une corde.
Cette foi , je lui serra ses liens et lui les attacha dans son dos.
Je pris mes tiges, commença a lui en planté une du sommet de l’épaule droite jusque son coude droit, vue la finesse de la tige, elle s’infiltra facilement dans son bras. Je la laissa dépasser de 5 cm.

Je posa la 2éme sur ma table, je n’allais pas lui supprimer la mobilité de son autre bras tout de suite.
J’y récupéra plusieurs petits couteaux. Je lui ouvrit le bas de son jeans et le releva jusque son genoux, je répéta cela sur son autre jambe.
Je pris 2 autres chaises, les plaça devant ses jambes et plaça celles-ci dessus.
Vue qu’elle m’avait parlé de film d’horreur, j’en décida de lui tourner ma simple torture en œuvre de 7éme art. A la fin biensur, je signerais mon œuvre de ma signature habituelle, mais nous ne faisons que commencer.


Je me suis mis a jouer avec deux couteaux en attendent son réveil qui ne devrait pas tardé.
Je souriais, enfin j’avais une victime peut ordinaire. Dommage que Arya met interdit de la tuer, cela l’aurait éviter de souffrir inutilement.
Je me plaça face à elle.


Quand elle commença a immergé, la douleur de la tige dans son bras apparaissait sur son visage.

- Bien dormi ? Souriais-je, Ne t’en fait pas, ton cauchemar ne fait que commençait.

Apres l'injection du produit de Ian, je me sentis vaseuse et le noir s'installa complètement.
Après quelle que minutes, que je trouvais interminable, je commençais doucement à me réveiller.
Je voyais flou, des ombres, mais soudain une douleur insupportable parcourait mon bras droit.
Une fine tige de métal transperçais celui-ci de mon épaule et qui continua dans mon bras, je ne pouvais plus le bouger, ni le plier. Cette douleur commençais à me rendre dingue. Je me retenue malgré tous de hurler de douleur.
Je ne voulais pas lui faire ce plaisir.
Ma vision était revenue à la normal, les ombres qui dansaient devant mes yeux devenaient plus nettes.
C'était Ian, accroupie face à moi en me fixant, un air satisfait de lui, un air vicieux.

- ...
- Bien dormis ! Ne t'en fais pas, ton cauchemar ne fait que commencé !
- ... Que voulez ... vous de moi ? ... Dis je faiblement.

Je le fixa ... avec un regard interrogateur et cruelle à la fois.
Mais je remarqua, la position étrange que Ian avait fait de mes jambes ... Ce qui me fit le regarder avec un regard encore plus noir.

Elle me fixa avec un regard noir après avoir constatée sa position. Je lui souris de plus belle, sont visage trahissez sa douleur, cela raviva mon esprit artistique. Je pris un couteau que je tenais entre mes doigts tout en continuant de jouer avec les deux autres.

- Se que je veux ? Non sait plutôt se que l'ont mas demander de te faire car se sort tu le doit a la faucheuse, et au passage elle te passe un petit bonjour.


- La faucheuse je l'emmerde !


- Reste polis je te pris, revenons actuellement a nos moutons, tu n'ai pas en position de te plaindre.


Je me relevas de ma position accroupis, brandis mon couteau au dessus de son visage.


- Tu te souvient quand je t'ai parler de tes yeux ? ...... Es bien j'ai pas changer d'avis....

Je posa ma lame sous sa paupière, sans l'appuyée et descendit le long de sa joue, pris une de ses mèche de se cheveux et lui la coupa. je toucha en faisant exprès de toucher la tige dans son épaule se qui lui déclencha un spasme. Je continua puis remonta jusque au niveau de sa gorge, j'en fis le tour sans appuyer comme si j'allais la lui tranchée. Je me retira, pris du recul et l'observa.

- Tu ne veux rien laisser transparaître ? Quelle dommage .... je te précise que cela ne me fait rien a moi tu ne fait que retenir tes derniers cris.

Je lança mon arme qui atterrie dans son abdomen, sans toucher d'organes vitaux. je ne pense pas quelle s attendait a cela de ma part. Je me mis a me reculer, jusque mas table et y reposa mes couteaux. Je me représenta devant elle avec un petit scalpel a la main.

- Comme je te l'avais dit un peut plutôt.... Ton cauchemar ne fait que commencer... fis-je tout en souriant diaboliquement.

Comme je te l'avais dit un peu plutôt.... Ton cauchemar ne fait que commencer! Dit il.

Je ne l'écoutais pas, trop distraite par ma blessure à l'abdomen.
Prise de colère, j'essayais mais en vain de desserrer mes liens en essayant d'écarter mes bras.
Ma colère fus de courte durer, la tige de métal qui se trouvait dans mon bras me fit signe et me rappelle à l'ordre.
Cette fois ci, je ne pus retenir un cris de douleur ...

- Vous n'allez pas vous en sortir comme ça ! Vous ... Je ne pus finir ma phrase, que je me sentis partir.
Je cligna plusieurs fois des yeux et baissa la tête, je commençais à de nouveau voir flou.
Je me sentais mal, je ne savais pas ce qui m'arrivais.
Quelle que instant plus tard, je me mis à tousser et respirer fortement.
J'avais l'impression de perdre un à un mes poumons, la sueur perlaient mon front, un teint pâle tapissa mon visage.
Pour une fois, j'ai du admettre que je ne pourrais peu être pas m'en sortir.
La douleur de mon bras s'accentuait ainsi que la blessure à l'abdomen ...
J'étais plier en deux ... Je regardais mes jambes ou je ne sentais toujours rien ...
Je me posais des tas de questions.
Pourquoi ? ... A quoi bon lui poser ...

- Si ... c'est des infos ... que vous chercher ... vous ... Je toussa avant de reprendre ... obtiendrez rien de Moi ! Sur ces derniers mots, je releva la tête et le regarda sans gêne.
J'allais pas lui faire se plaisir de me voir craquer, sombrer sous mes sanglots, même si j'en avais fortement envie.
Je repensais à mon Passer ... Ma Famille ... Mes Amis ... et Lui.
Mais je pensais surtout à Mathieu ... ceux que je n'ai pas pus lui dire ... Manque de temps ... ou plutôt de courage.
A Beckett, qui était à l'hôpital ... au peu de temps qu'on a pus repasser ensemble ...
Mais je retourna rapidement à la réalité, il fallait que j'admette que dans le présent maintenant ... que cette homme était là.
Je me sentais de plus en plus vaseuse.
Ian se trouvait devant moi avec son scalpel à la mains, je le fixa en essayant de rester éveiller.

- Ta fait médecine ! Dis je sur un ton isolant.

Vu que j'allais mourir... Je décida dans finir dignement et de ne pas mourir pour rien sans m'avoir un minimum défendu.

- Très drôle ! Ta de l'humour à ce que je vois. Dit il en fessant tourner son scalpel dans sa mains.

Quelle que secondes après sa réponse, je lui cracha à la figure.

- Si je dois crever !!! Au temps en profiter pleinement et de te faire chier jusqu'au plus profond de ton être ! Dis je avec fierté.

Ian s'essuya le visage avec la manche de son Pull.
D'un geste vif, il me prit à la gorge avec sa mains libre.

Elle me cracha a la figure, je m’essuya avec ma manche.
Comment osez telle me faire ca ! Une rage monta au fond de moi et je l’agrippa voilement au niveau de son cou.
Je la serra tellement que quand je l’achat prise, je vis la trace de ma main.
Je me repris, m’éloigne. Je ne voulais pas lui abrégé trop vite ses souffrances, je ne lui ferais pas ce plaisir.
*Tu ne doit pas la tuer !*

- Tu n’aurais pas du faire cette acte, tu risque de le payer.

Je m’approcha de son visage avec mon scalpel, l’appuya du coin de son œil gauche jusque la commissure de ses lèvres gauche.
Une ligne parfaite de sang se dessine sur son visage, quelques gouttes ce mise a tombées à terre. Elle ne pût se retenir de criée et de lâcher une larme, mais cela me suffis. Je me retira près de ma table, ne posa pas mon scalpel et récupéra un rouleau de scotch. J’en découpa 2 bandes avec mes dente.
Je les plaça en crois sur son mollet droit.

- Ne t’inquiète pas, tu ne sentira rien.

La sentent partir j’ajouta :

- Hep ! reste avec moi encore un peut ma jolie, en claquant des doigts.

Je m’accroupis près de sa jambe droite et ouvrit sa chaire au niveau du centre de ma croix et enfonça mon scalpel jusque son os, ce qui laissa un trou de 1 cm de largeur. Du sang jaillit de ce trou béant.


- Je ne veux pas d’informations, je sait déjà tout ce dont j’ai besoins. Je ne fait cela que par plaisir par ce que c’est de famille, me marrais-je.

Je ma releva, pris du recul et me posa dans le noir avec de nouvelles pensées en tête.

- Tu n'aurais pas du faire cette acte, tu risque de le payer.
- J'ai peur ! Dis je ironiquement.

Je vis Ian s'approcher de moi lentement, armé de son scalpel, il le posa délicatement dans le coin de mon oeil gauche, je sentis un léger picotement à se moment là. Quelle que instant plus tard, il me fit un entaille sur la joue jusqu'à ma lèvre.
Je ne pus m'empêcher de retenir un cris de douleur souligné de quelle que juron bien placés.
Je vis quelle que goutte de mon sang couler sur le sol, une larme clandestine coula également le long de la joue.
Je baissa la tête, écoutait le bruit ambiant, j'entendis Ian se déplacer, je ne cherchais plus à savoir ce qu'il préparait.
Je commençais à être désespérée ... l'espoir me quitta ...
Quelle que instant plus tard, Ian me pris la jambe pour y mettre du scotch sur mon mollet, je lui lança un regard interrogateur.

- Ne t'inquiète pas tu ne sentira rien ! Me dit il.
Je recommençais à retomber dans les pommes ... mais le claquement de doigt de Ian me réveilla.

- Hep ! Reste avec moi encore un peu ma jolie ! Dit il.

Après ses mots, je vis Ian m'ouvrir le Mollet ... Je ne sentais rien, mais le faite de le voir faire me fit m'imaginer la douleur.
J'entendais vaguement Ian parler, mais je l'écoutais à moitier.

Et Je le vis disparaître dans l'obscurité.

Assis sur ma table loin de Hayley je l'observais perdu dans l'obscurité, la lumière de lampe la rendait plus pale qu'elle ne l'était vraiment.

- Tu ne compte tout de même pas tant sortir juste avec quelques égratignures comme celle-ci ? Tes souffrances ne font que commencer, et surtout ne pense pas que tes amis arriverons a te retrouver avant la fin de mon oeuvre.
Cela est exclu ajoutais-je plus bas.

Je sorti du noir armé d'un couteau a double tranchant, je me mis a jouer avec, un tic que jais depuis que je suis petit, j'adore jouer avec ses armes.
Je ne trahissais plus aucune émotion sur mon visage, il restait impassible.
Je me rapprocha d'elle a petit pas, le temps devait lui paraitre long, mais pour moi chaque secondes compter car si je la laissait perdre trop de sang et mourir, Arya m'en voudrait.

- Ne te rendors pas tout de suite ma grande, encore quelques dizaines de minutes entre mes doigts, qui te paraitrons une éternité, et tu retrouvera les tiens. Je métrais un terme a tes souffrances mais pour l'instant nous n'en somme pas la.

J'approcha le couteaux de sa jambe gauche et la piqua légèrement le long de celle-ci, pour m'amuser

- La douleur devrais apparaître d'ici quelques instants dans tes jambes bien sur, le trou que je tais fait dans la jambe droite va te paraitre insupportable, mais montre moi que tu es forte et essaie de ne pas crié tu gaspillerais tes forces inutilement.

Je lui planta mon couteau sur le coter de sa cuisse gauche, un léger frisson parcourut sa jambe, la douleur commençait a se réveiller. J'attendit de voir sont visage se crispé pour affirmer que le poison ne faisait presque plus effet.
Dés que je vis cela, je pris mon couteau toujours planter et commença a l'agiter dans la plaie ouverte de sa cuisse, elle ne put retenir ses cries comme je le pensais.

Je l'observa quelques minute, les forces commençait a lui manquer, son pou ralentissait, se respiration devenait de plus en plus saccadée, il était temps`pour moi de la laisser revivre dans le monde réel.

Il ne me restait qua lui faire ma signature , marque indélébile qui ne partirait jamais de son corps, mais avant de la plonger dans un profond sommeille pour faire cela. Avant ceci j'attendis quelle calme ses cries, m'approcha de sa tête, et l'embrassa fougueusement. Elle ment parut troublait, pile se que je souhaiter, il m'as était simple de lui implanter cette émotion. Je lui planta une seringue dans son bras qui contenait des somnifères liquide, elle partie au pays des rêves.

Je la détacha, retira ses liens et les couteaux plantés dans sa peau. Je retira délicatement la tige de métal dans son bras.
Cela lui laissera quelques traces qui partirons d'ici quelques mois voire quelques années pour d'autre.


Je la mit au sol, l'allongea sur le ventre, souleva son tee-shirt et me mis accroupi au dessus d'elle, pris une aiguille de 1,5 mm d'épaisseur, chauffer a blanc. Je commença a écrire avec mon aiguille sur le creux de son dos, ma signature est en minuscule en calligraphie.

" Are you a life ? "
suivi a la ligne centrer, en dessous de ma phrase précédente, d'un " I " .

Après avoir poser un pansement et un désinfectant sur cette signature, je la porta jusque ma voiture et la déposa sur ma banquette arrière qui était plastifiée. Je pris le volant et la conduisit jusque l'hôpital. Je la porta jusque l'entrée et cria

- Un médecin vite !

Plusieurs infirmières et médecin arrivèrent vers nous pour la prendre en charge, je la déposa sur une civière et me faufila jusque la sortie. Je composa le numéro de Mathieu sur un téléphone prépayer que j'avais acheter auparavant.

- Ta chère et tendre se trouve actuellement a un hôpital a Manhattan, elle est partie rejoindre son amie Beckett. Pense a lui prendre des fleures et de la morphine pour son réveil et a bientôt,et sache que toi aussi tu es l'une des victimes qui sont sur cette liste Math.... Hahahahaha !

Je raccrocha et plein fou rire sans attendre de réponse. Je me mis en chemin puis contacta Arya pour lui donner un petit rendez-vous.

- Salut ma belle rejoins moi au bar prêt du commissariat a 20h.

NOTE ADMIN: attention Hayley reste poli corrige moi le post où le mot " chier " apparait sinon c'est l'averto

Comment ?!! ....

Kate tu peux verrouiller Se Sujet ( et Effacer se Message Apres, désolé du Double Post )